17 octobre 2009
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19:01
Et voilà, c'est fini ! Maiiisss pourquooooiii ???
Cinq semaines passées et nous voilà déjà de retour. Ca aura été vite, mais assez pour qu'on puisse en profiter pleinement, s'en mettre plein les yeux sans limite (et le bide), et déconner grassement.
De nombreux états ont été traversés... en passant de la plaine verdoyante du New York, au désert aride du Nevada, claquer la bise aux présidents de pierre, mettre des fessées aux bisons, Vegas, traîner dans les rues de SF, viroler sur la PCH, et bouffer du macadam en s'en mettant toujours et encore autant (mais non rien de sexuel).
On a sans nulle doute été impressionné par la beauté et l'immensité de ce pays, qui pour nous ne pouvait se faire que par la route. Certes, il y a eu des moments difficiles, quand après 1000 kms et de nuit, nous ne voyions aucun super 8 à l'horizon, ou des instants plus joyeux lorsqu'au lever du jour, fonçant vers l'ouest, nous avions face à nous des paysages grandioses qui se dévoilaient à la lumière du petit matin.
On a déconné aussi, ça oui. On a essayé de vous le faire partager. Mais ce que vous avez vu ne représente qu'un minuscule millième de ce qu'on a pu envoyer pendant ce voyage. Les délires dans la caisse, dans les chambres d'hôtel, dans la rue et ailleurs encore.
On a du mettre un point de conclusion à tout ça, ici à Seattle. Une bonne grosse cuite, à terminer le lendemain au citrate et au doliprane, mais bon, ça fait partie du contrat, surtout comme ça, au bourbon et accoudés au zinc à profiter de la musique live.
Voilà, on a respectivement zippé notre valise (qui est deux fois plus grosse qu'à l'aller...)
On arrive.
Cinq semaines passées et nous voilà déjà de retour. Ca aura été vite, mais assez pour qu'on puisse en profiter pleinement, s'en mettre plein les yeux sans limite (et le bide), et déconner grassement.
De nombreux états ont été traversés... en passant de la plaine verdoyante du New York, au désert aride du Nevada, claquer la bise aux présidents de pierre, mettre des fessées aux bisons, Vegas, traîner dans les rues de SF, viroler sur la PCH, et bouffer du macadam en s'en mettant toujours et encore autant (mais non rien de sexuel).
On a sans nulle doute été impressionné par la beauté et l'immensité de ce pays, qui pour nous ne pouvait se faire que par la route. Certes, il y a eu des moments difficiles, quand après 1000 kms et de nuit, nous ne voyions aucun super 8 à l'horizon, ou des instants plus joyeux lorsqu'au lever du jour, fonçant vers l'ouest, nous avions face à nous des paysages grandioses qui se dévoilaient à la lumière du petit matin.
On a déconné aussi, ça oui. On a essayé de vous le faire partager. Mais ce que vous avez vu ne représente qu'un minuscule millième de ce qu'on a pu envoyer pendant ce voyage. Les délires dans la caisse, dans les chambres d'hôtel, dans la rue et ailleurs encore.
On a du mettre un point de conclusion à tout ça, ici à Seattle. Une bonne grosse cuite, à terminer le lendemain au citrate et au doliprane, mais bon, ça fait partie du contrat, surtout comme ça, au bourbon et accoudés au zinc à profiter de la musique live.
Voilà, on a respectivement zippé notre valise (qui est deux fois plus grosse qu'à l'aller...)
On arrive.
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